[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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titanhac76
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
et dédé il deviends quoi ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Football – HAC : « On ne comprenait pas ce qui nous arrivait », raconte Jonathan Rivierez
Un joueur, deux maillots. Avant la réception de Lille, samedi 28 septembre 2024 (19 heures), nous avons retrouvé Jonathan Rivierez, passé par le LOSC avant de réellement lancer sa carrière sous le maillot du Havre AC. Des couleurs ciel et marine qu’il a défendues quatre saisons durant.
Après une saison au LOSC, c’est au HAC que Jonathan Rivierez a réellement pris son envol
Cinquième épisode de « Paroles d’ex » et coup de projecteur sur Jonathan Rivierez, un latéral droit retiré de la scène professionnelle depuis l’hiver dernier. À 35 ans, l’ex-défenseur havrais (2010-2014), parti de Lille un an avant que les Dogues n’offrent le troisième titre de champion de France au LOSC (2011), a déjà basculé sur sa reconversion. Non loin du Havre.
Au bord du gouffre
Cent trente et un matches en faveur du club doyen, quatre saisons et une frayeur. Une immense frayeur, quelques semaines seulement avant que le HAC ne quitte Deshaseaux pour faire son entrée au Stade Océane. Exercice 2011-12. Sur le papier, en plus de Rivierez, il y a notamment les Johny Placide, Loïc Nestor, Benjamin Mendy, ou encore Walid Mesloub, Ryan Mendes et Riyad Mahrez,. Rien que ça ! Et pourtant, à deux journées du baisser de rideau, c’est le National qui tente toujours d’aspirer les hommes de Cédric Daury.
« Je me souviens de ces réunions avec les supporters, avec la presse. Avec cette équipe, on ne comprenait pas ce qui nous arrivait, comment nous pouvions en être là. Et vient ce match à Laval (37e j.). Dans les jours qui ont précédé ce déplacement, on avait délocalisé nos entraînements à la Cavée. Il y avait du monde et sentir ce public nous a fait un bien fou. Puis on a gagné à Laval (2-0), c’était le match du maintien. Un moment fort. Humainement, on avait vécu quelque chose de grand. Ce groupe de joueurs était exceptionnel, même si ça manquait peut-être d’un ou deux joueurs à fort caractère pour secouer tout ça. Maintenant, on s’en est sorti là où d’autres équipes auraient flanché. Il y avait du talent, des futurs internationaux, c’est ça qui a été le plus dur à digérer au moment du bilan. »
« Je n’étais pas assez fort »
Étiqueté pépite des Chamois Niortais, il fut repéré et pris dans les filets du LOSC en 2009. Soit un an seulement avant qu’il ne pose son sac au Havre, « là où j’ai réellement débuté ma carrière. » Parce qu’à Lille, alors entraîné par Rudi Garcia, le technicien qui allait conduire les Nordistes jusqu’au titre de champion au printemps 2011, il n’a jamais pu percer. « Cela a été une année de fin de formation. C’est là que j’ai appris à devenir professionnel. Je sortais de Niort, du National, et je découvrais un top club français, des infrastructures exceptionnelles, une nouvelle ville. »
Il y a donc surtout découvert les règles de la concurrence. Au LOSC, sur le flanc droit de la défense, les candidats s’appelaient Debuchy, Béria ou encore Van Dam. « J’étais le quatrième ou le cinquième sur la liste, je n’étais pas assez fort pour les concurrencer. Je n’étais pas prêt. » À deux ans du terme de son contrat, le défenseur aux origines martiniquaises, apparu une seule fois sous le maillot des Dogues (en Coupe de France), décida alors de quitter le Nord. « Quand le HAC m’a contacté, j’ai foncé. » Avant qu’il ne poursuive sa route au FC Metz, où il découvrit la L1, au SM Caen, puis à Bourg-en-Bresse.
Appelez-le coach !
Lorsque pour la dernière, il a quitté le pré, un soir de défaite face à la « B » de l’AJ Auxerre, il savait qu’il ne traverserait pas les mois à venir accompagné du blues de la fin de carrière. C’était un soir de janvier 2024, dans l’antre de Bourg-en-Bresse Péronnas 01 et d’une joute de niveau National 2. Bourg-en-Bresse, ce club qu’il avait rallié à l’été 2022. « On venait de descendre en National 2, le climat devenait pesant. Alors j’ai préféré résilier mon contrat. Mais tout était prêt. Je savais où nous nous installerions avec ma famille, et ce que je voulais faire. » Et sa nouvelle vie, c’est à Rouen qu’il la débute, « la ville dont est originaire ma femme. »
Il savait donc où se poser, et ce qu’il ferait. « Parce qu’au centre de formation de Niort, en U17, un entraîneur m’a vraiment marqué. J’ai aimé sa façon de transmettre sa vision du football. » Il s’agit de Franck Azzopardi, l’homme aux 439 matches avec les Chamois. « À son contact, j’ai tout de suite su qu’après ma carrière, c’est entraîneur que j’aimerais être. »
Actuellement, il planche ainsi sur les cours qui doivent le conduire jusqu’à l’obtention du BEF (Brevet d’entraîneur de football). Et ce, tout en continuant à jouer, cette fois pour le simple plaisir. « Je ne voulais pas arrêter totalement, alors j’ai repris une licence, et je joue en R1 avec la réserve de QRM. J’entraîne également les U16 du club, et je me régale avec eux. La suite ? Je me laisse le temps de voir. En tout cas, entraîneur ou formateur, j’aurais toujours un besoin de compétition. »
En bref… En bref… Né le 18 mai 1989 au Blanc-Mesnil Formé aux Chamois Niortais 2008-2009 : Niort, 23 matches (Nat) 2009-2010 : Lille (aucun match) 2010-2014 : HAC, 117 matches (L2) 2014-2019 : Metz, 50 matches (L1), 33 matches (L2) 2019-2022 : Caen, 81 matches (L1) 2022-Janv. 2024 : Bourg-en-Bresse, 25 matches (Nat), 4 matches (N2)
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Un joueur, deux maillots. Avant la réception de Lille, samedi 28 septembre 2024 (19 heures), nous avons retrouvé Jonathan Rivierez, passé par le LOSC avant de réellement lancer sa carrière sous le maillot du Havre AC. Des couleurs ciel et marine qu’il a défendues quatre saisons durant.
Après une saison au LOSC, c’est au HAC que Jonathan Rivierez a réellement pris son envol
Cinquième épisode de « Paroles d’ex » et coup de projecteur sur Jonathan Rivierez, un latéral droit retiré de la scène professionnelle depuis l’hiver dernier. À 35 ans, l’ex-défenseur havrais (2010-2014), parti de Lille un an avant que les Dogues n’offrent le troisième titre de champion de France au LOSC (2011), a déjà basculé sur sa reconversion. Non loin du Havre.
Au bord du gouffre
Cent trente et un matches en faveur du club doyen, quatre saisons et une frayeur. Une immense frayeur, quelques semaines seulement avant que le HAC ne quitte Deshaseaux pour faire son entrée au Stade Océane. Exercice 2011-12. Sur le papier, en plus de Rivierez, il y a notamment les Johny Placide, Loïc Nestor, Benjamin Mendy, ou encore Walid Mesloub, Ryan Mendes et Riyad Mahrez,. Rien que ça ! Et pourtant, à deux journées du baisser de rideau, c’est le National qui tente toujours d’aspirer les hommes de Cédric Daury.
« Je me souviens de ces réunions avec les supporters, avec la presse. Avec cette équipe, on ne comprenait pas ce qui nous arrivait, comment nous pouvions en être là. Et vient ce match à Laval (37e j.). Dans les jours qui ont précédé ce déplacement, on avait délocalisé nos entraînements à la Cavée. Il y avait du monde et sentir ce public nous a fait un bien fou. Puis on a gagné à Laval (2-0), c’était le match du maintien. Un moment fort. Humainement, on avait vécu quelque chose de grand. Ce groupe de joueurs était exceptionnel, même si ça manquait peut-être d’un ou deux joueurs à fort caractère pour secouer tout ça. Maintenant, on s’en est sorti là où d’autres équipes auraient flanché. Il y avait du talent, des futurs internationaux, c’est ça qui a été le plus dur à digérer au moment du bilan. »
« Je n’étais pas assez fort »
Étiqueté pépite des Chamois Niortais, il fut repéré et pris dans les filets du LOSC en 2009. Soit un an seulement avant qu’il ne pose son sac au Havre, « là où j’ai réellement débuté ma carrière. » Parce qu’à Lille, alors entraîné par Rudi Garcia, le technicien qui allait conduire les Nordistes jusqu’au titre de champion au printemps 2011, il n’a jamais pu percer. « Cela a été une année de fin de formation. C’est là que j’ai appris à devenir professionnel. Je sortais de Niort, du National, et je découvrais un top club français, des infrastructures exceptionnelles, une nouvelle ville. »
Il y a donc surtout découvert les règles de la concurrence. Au LOSC, sur le flanc droit de la défense, les candidats s’appelaient Debuchy, Béria ou encore Van Dam. « J’étais le quatrième ou le cinquième sur la liste, je n’étais pas assez fort pour les concurrencer. Je n’étais pas prêt. » À deux ans du terme de son contrat, le défenseur aux origines martiniquaises, apparu une seule fois sous le maillot des Dogues (en Coupe de France), décida alors de quitter le Nord. « Quand le HAC m’a contacté, j’ai foncé. » Avant qu’il ne poursuive sa route au FC Metz, où il découvrit la L1, au SM Caen, puis à Bourg-en-Bresse.
Appelez-le coach !
Lorsque pour la dernière, il a quitté le pré, un soir de défaite face à la « B » de l’AJ Auxerre, il savait qu’il ne traverserait pas les mois à venir accompagné du blues de la fin de carrière. C’était un soir de janvier 2024, dans l’antre de Bourg-en-Bresse Péronnas 01 et d’une joute de niveau National 2. Bourg-en-Bresse, ce club qu’il avait rallié à l’été 2022. « On venait de descendre en National 2, le climat devenait pesant. Alors j’ai préféré résilier mon contrat. Mais tout était prêt. Je savais où nous nous installerions avec ma famille, et ce que je voulais faire. » Et sa nouvelle vie, c’est à Rouen qu’il la débute, « la ville dont est originaire ma femme. »
Il savait donc où se poser, et ce qu’il ferait. « Parce qu’au centre de formation de Niort, en U17, un entraîneur m’a vraiment marqué. J’ai aimé sa façon de transmettre sa vision du football. » Il s’agit de Franck Azzopardi, l’homme aux 439 matches avec les Chamois. « À son contact, j’ai tout de suite su qu’après ma carrière, c’est entraîneur que j’aimerais être. »
Actuellement, il planche ainsi sur les cours qui doivent le conduire jusqu’à l’obtention du BEF (Brevet d’entraîneur de football). Et ce, tout en continuant à jouer, cette fois pour le simple plaisir. « Je ne voulais pas arrêter totalement, alors j’ai repris une licence, et je joue en R1 avec la réserve de QRM. J’entraîne également les U16 du club, et je me régale avec eux. La suite ? Je me laisse le temps de voir. En tout cas, entraîneur ou formateur, j’aurais toujours un besoin de compétition. »
En bref… En bref… Né le 18 mai 1989 au Blanc-Mesnil Formé aux Chamois Niortais 2008-2009 : Niort, 23 matches (Nat) 2009-2010 : Lille (aucun match) 2010-2014 : HAC, 117 matches (L2) 2014-2019 : Metz, 50 matches (L1), 33 matches (L2) 2019-2022 : Caen, 81 matches (L1) 2022-Janv. 2024 : Bourg-en-Bresse, 25 matches (Nat), 4 matches (N2)
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
mouais..le Luka, on apprends quand même dans l'interview de Bodmer qu'il nous a mis une belle carotte. A nous les supporters, c'est une chose mais à Mathieu qui est allé le chercher, c'est bof...Son départ est une chose mais la manière laisse à désirer
Ca confirme mon impression de l'intersaison, Elsner m'a déçu sur la fin
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Fais tu allusion à l'interview dans le PN 'parlons sport'?JP1872 a écrit : ↑26 sept. 2024 20:43mouais..le Luka, on apprends quand même dans l'interview de Bodmer qu'il nous a mis une belle carotte. A nous les supporters, c'est une chose mais à Mathieu qui est allé le chercher, c'est bof...Son départ est une chose mais la manière laisse à désirer
Ca confirme mon impression de l'intersaison, Elsner m'a déçu sur la fin
Merci beaucoup
Tu pousses le bouchon un peu loin Maurice..... 
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Perso pour moi Luka Elsner c'est de l'histoire ancienne.
Il restera dans l'histoire du club pour avoir assuré une montée-maintien en 2 ans avec un effectif et des moyens très limités et ça forcément il a tout mon respect.
Maintenant j'adhère vraiment à Didier Digard que je trouve très réfléchi et calme, et une philosophie de jeux qui me plaît vraiment.
J'espère vraiment qu'il va avoir des résultats avec le HAC car c'est vraiment un début de saison très encourageant.
Il restera dans l'histoire du club pour avoir assuré une montée-maintien en 2 ans avec un effectif et des moyens très limités et ça forcément il a tout mon respect.
Maintenant j'adhère vraiment à Didier Digard que je trouve très réfléchi et calme, et une philosophie de jeux qui me plaît vraiment.
J'espère vraiment qu'il va avoir des résultats avec le HAC car c'est vraiment un début de saison très encourageant.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
C est d apres l interview de bodmer comme tu le dis si bienJP1872 a écrit : ↑26 sept. 2024 20:43mouais..le Luka, on apprends quand même dans l'interview de Bodmer qu'il nous a mis une belle carotte. A nous les supporters, c'est une chose mais à Mathieu qui est allé le chercher, c'est bof...Son départ est une chose mais la manière laisse à désirer
Ca confirme mon impression de l'intersaison, Elsner m'a déçu sur la fin
Il faudrait le point de vue de Luka pour contrebalancer
Quand un couple se dechire, si tu ne prends en compte que l avis d un protagoniste, toutes les fautes sont pour l autre. Donc se mefier tout de meme des propos relatés par Bodmer meme si j apprecie enormement ce qu il apporte au hac.
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Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Et, quand un couple d'ami se déchire, même si l'un a un peu plus de tort que l'autre, tu peux continuer à apprécier les deux, sans que cela n'influe sur la perception de l'autre.
Je suis très content d'avoir Bodmer.
J'ai adoré avoir Elsner.
Et ce n'est pas une séparation houleuse qui changera cela.
Je suis très content d'avoir Bodmer.
J'ai adoré avoir Elsner.
Et ce n'est pas une séparation houleuse qui changera cela.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
-
titanhac76
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Sans tout chambouler, le nouveau coach
de Reims, 4e après ce succès à Angers,
a déjà apporté un nouvel élan.
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL
LUC HAGÈGE
ANGERS – « Il nous apporte la tranquillité
et le recul qui nous manquait
la saison dernière. » Ce sentiment
de Yehvann Diouf, le gardien de
Reims, à propos de Luka Elsner,
arrivé cet été en provenance
du Havre, a été particulièrement
illustré dans la foulée de la première
journée. Après la défaite
initiale contre Lille (0-2, le 17 août),
cela aurait pu vite mal tourner.
Surtout au vu du calendrier ardu
qui se présentait ensuite. Mais fort
de son « expérience au HAC », où,
comme il le confie, il a appris « à
toujours garder du calme et de l’enthousiasme
malgré des résultats
parfois négatifs », l’entraîneur
champenois (42 ans, engagé sur
deux saisons) n’a pas paniqué.
Comme le relève le défenseur
central ivoirien Cédric Kipré, lui
aussi arrivé cet été et étincelant
hier lors du succès à Angers (3-1)
qui permet à Reims de totaliser
onze points et de se hisser à la
quatrième place, « il nous a même
donné de la confiance et de la force
pour aller ramener un bon résultat
de Marseille » (2-2, le 25 août).
“J’essaye de prendre
ce qui a été bien fait
auparavant LUKA ELSNE'R, E'NTRAÎNEUR DE REIMS
« Même quand on réalise des matches
moins bons dans le contenu,
comme à Nantes (2-1, le 15 septembre),
on engrange des points
justement parce qu’on ne s’affole
pas », insiste Diouf. Ainsi, avec des
joueurs individuellement remis
en pleine confiance, comme l’attaquant
japonais Keito Nakamura,
et un travail tactique très
minutieux, la formation champenoise
s’est affirmée, étant la seule
à avoir freiné le PSG jusqu’ici (1-1,
le 21 septembre).
Et à Angers, contre un adversaire
certes plutôt conciliant, elle
a réussi quelques enchaînements
techniques de haut niveau. « On a
fait un grand pas en avant dans l’utilisation
des espaces, on a fait mal
dans toutes les transitions et on a
aussi été très solides défensivement
(sauf sur la fin du match) »,
pouvait se réjouir le technicien.
Arrivé pour diriger un staff déjà
bien en place (avec notamment
Samba Diawara, également renforcé
par Adrien Tarascon, venu
de Lille comme adjoint), Elsner
n’a rien révolutionné. « Il y a beaucoup
de compétence et de bienveillance
et je n’ai pas eu beaucoup
d’efforts à faire pour que ça colle.
L’effectif a été très peu modifié. J’essaye
de prendre ce qui a été bien fait
auparavant et de m’inscrire dans
l’ADN du club, tout en apportant
mes sensations et ma passion sur
certains aspects », explique le
coach. « Il a mis sa petite, ou plutôt
sa grosse patte ! », lance Diouf en
rigolant. Et tout un club, qui s’est
offert de très belles perspectives,
de Reims, 4e après ce succès à Angers,
a déjà apporté un nouvel élan.
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL
LUC HAGÈGE
ANGERS – « Il nous apporte la tranquillité
et le recul qui nous manquait
la saison dernière. » Ce sentiment
de Yehvann Diouf, le gardien de
Reims, à propos de Luka Elsner,
arrivé cet été en provenance
du Havre, a été particulièrement
illustré dans la foulée de la première
journée. Après la défaite
initiale contre Lille (0-2, le 17 août),
cela aurait pu vite mal tourner.
Surtout au vu du calendrier ardu
qui se présentait ensuite. Mais fort
de son « expérience au HAC », où,
comme il le confie, il a appris « à
toujours garder du calme et de l’enthousiasme
malgré des résultats
parfois négatifs », l’entraîneur
champenois (42 ans, engagé sur
deux saisons) n’a pas paniqué.
Comme le relève le défenseur
central ivoirien Cédric Kipré, lui
aussi arrivé cet été et étincelant
hier lors du succès à Angers (3-1)
qui permet à Reims de totaliser
onze points et de se hisser à la
quatrième place, « il nous a même
donné de la confiance et de la force
pour aller ramener un bon résultat
de Marseille » (2-2, le 25 août).
“J’essaye de prendre
ce qui a été bien fait
auparavant LUKA ELSNE'R, E'NTRAÎNEUR DE REIMS
« Même quand on réalise des matches
moins bons dans le contenu,
comme à Nantes (2-1, le 15 septembre),
on engrange des points
justement parce qu’on ne s’affole
pas », insiste Diouf. Ainsi, avec des
joueurs individuellement remis
en pleine confiance, comme l’attaquant
japonais Keito Nakamura,
et un travail tactique très
minutieux, la formation champenoise
s’est affirmée, étant la seule
à avoir freiné le PSG jusqu’ici (1-1,
le 21 septembre).
Et à Angers, contre un adversaire
certes plutôt conciliant, elle
a réussi quelques enchaînements
techniques de haut niveau. « On a
fait un grand pas en avant dans l’utilisation
des espaces, on a fait mal
dans toutes les transitions et on a
aussi été très solides défensivement
(sauf sur la fin du match) »,
pouvait se réjouir le technicien.
Arrivé pour diriger un staff déjà
bien en place (avec notamment
Samba Diawara, également renforcé
par Adrien Tarascon, venu
de Lille comme adjoint), Elsner
n’a rien révolutionné. « Il y a beaucoup
de compétence et de bienveillance
et je n’ai pas eu beaucoup
d’efforts à faire pour que ça colle.
L’effectif a été très peu modifié. J’essaye
de prendre ce qui a été bien fait
auparavant et de m’inscrire dans
l’ADN du club, tout en apportant
mes sensations et ma passion sur
certains aspects », explique le
coach. « Il a mis sa petite, ou plutôt
sa grosse patte ! », lance Diouf en
rigolant. Et tout un club, qui s’est
offert de très belles perspectives,
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
La véritable question sera de savoir si nous serons content d'avoir eu DigardMerineferet a écrit : ↑27 sept. 2024 17:39
Je suis très content d'avoir Bodmer.
J'ai adoré avoir Elsner.
Tu pousses le bouchon un peu loin Maurice.....
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
J'ai déjà un doute.Momo-k a écrit : ↑30 sept. 2024 15:54La véritable question sera de savoir si nous serons content d'avoir eu DigardMerineferet a écrit : ↑27 sept. 2024 17:39 Je suis très content d'avoir Bodmer.
J'ai adoré avoir Elsner.
Je ne suis pas superstitieux ça porte malheur.
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Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Réponse d'ici la fin du championnat.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
J'espère qu'on n'attendra pas la dernière journée pour savoir .... on ne va pas faire de l'huile toute la saison , à serrer les fesses durant toute la saison.
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Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Cela te les musclera.
Cela dit, fin de championnat ne veut pas dire dernière journée.
L'an dernier, la dernière affiche sans pression a fait du bien à notre tension.
Même si on ne va pas reprocher d'avoir du piquant sur les dernières journées.
Les matchs sans enjeu, on en a trop connus.
Cela dit, fin de championnat ne veut pas dire dernière journée.
L'an dernier, la dernière affiche sans pression a fait du bien à notre tension.
Même si on ne va pas reprocher d'avoir du piquant sur les dernières journées.
Les matchs sans enjeu, on en a trop connus.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Sans enjeux, mais maintenu, ça me va bien dès janvier !
Mes fesses attendront !
Mes fesses attendront !
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
La suspension de Pogba est réduite à 18mois, il va pouvoir de nouveau s’entraîner en janvier avec la juve, et jouer en mars.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
J'ai regardé Angers hier soir pour la première fois depuis bien longtemps, et je dois dire qu'Abdelli m'impressionne vraiment dans la maturité acquise par rapport à son passage chez nous. Un vrai bon joueur de L1 sans aucun doute.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
J'ai regardé aussi, Angers on aurait cru un HAC version ligue 2 : Abdelli, Ferhat, Fofana 
Ils ont un joueur très intéressant, El Melali, le coup franc qu'il met 
Par contre l'OM, très décevant par rapport à l'effectif qu'ils ont, on a l'impression qu'ils vont à deux à l'heure ; pourtant ils ne jouent pas en coupes d'Europe, on ne peut pas dire qu'ils soient fatigués.
Ils ont un joueur très intéressant, El Melali, le coup franc qu'il met Par contre l'OM, très décevant par rapport à l'effectif qu'ils ont, on a l'impression qu'ils vont à deux à l'heure ; pourtant ils ne jouent pas en coupes d'Europe, on ne peut pas dire qu'ils soient fatigués.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ça fait tout de même 3 saisons qu’Abdelli montre de très belle chose à Angers. Déjà sa précédente saison en L1 c’était l’un des seuls à montrer quelque chose dans cette équipe.
La saison passée il a fortement contribué à la montée.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Y aurait il moins de kebab à Angers ???