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Peu ont dû le voir jouer ici (moi le premier), mais les hommes comme lui ont une grande place dans l'histoire du HAC.
Daniel Predhomme nous a quittés vendredi dernier.
Arrivé en cadet au club, ce footballeur technique et auteur de nombreux buts, est de ceux qui auront maintenu le HAC en vie lors des années 60-70, que ce soit en D2, CFA, DH ou D3 !
En 1977, après une douzaine de saisons en équipe première, il rejoint l'équipe réserve, puis ensuite la fameuse 4/6 (les vétérans).
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HAC FCR 70-71 Bazaud Pred'homme.JPG (327.71 Kio) Vu 2382 fois
Quand on va au stade, c'est pour fout' le feu, Deschaseaux en flamme, ca fait des envieux (Les Havrais)
Triste nouvelle pour moi car ce fut mon idole de jeunesse (d'où le début de surnom) . Avec Bourgier, Bazaud, Brenier, Lamy etc...
C'était un super technicien au poste de n°10 avec un pied gauche magique notamment pour les coups franc et corners . Je le voyais s'entraîner à la Cavée quand j'étais à l'école de foot du HAC en 1965 et j'essayais de le copier.
Contre la première équipe du PSG en 70, ce fut le roi du terrain devant les internationaux comme Djorkaeff père ou JC.Bras.
J'ai eu l'occasion de discuter avec lui il y a 4 ou 5 ans et lui dire toute mon admiration.
Il a eu des propositions de club pro après son service militaire mais à toujours voulu rester fidèle au HAC et à ses copains.
Triste de pouvoir aller à son inhumation car à l'étranger actuellement mais j'espère que le club lui fera un vibrant hommage car il le méritait. Il a incarné les valeurs du HAC et à permis au club de survivre quand on était descendu en DH.
R.I.P Daniel et merci pour m'avoir transmis la passion du HAC qui dure depuis 59 ans.
Merineferet a écrit : ↑07 avr. 2024 08:29
Si je ne me trompe pas, Sabbi est notre meilleur buteur?
J'aime bien ce joueur atypique.
Pas toujours précis, mais toujours à se donner à fond, techniquement talentueux, une sacrée gestion de son corps, notamment dans l'équilibre.
Il me fait penser à Jamal en meilleur techniquement.
D'ailleurs, ce dernier a de nouveau marqué.
Que les américains prennent bien soin de notre joueur, nous on fait de même avec le leur.
1er but de nolan mbemba avec grenoble (defaite 2-1 au pfc)
depuis son arrivée, c est 1V 2N et 7D
il ne joue jamais de match entier (6 titularisations et 4 remplacements)
Quand a Alioui, lesion musculaire, et donc il n a fait qu une apparition dans son club Adana Demirspor
D ailleurs surpris de voir qu il y a des mecs comme balotelli ou nani avec lui (et a un degré moindre, youcef attal, pape aliou cissé...)
Pour finir avec la turquie, notre grand defenseur ertugrul ersoy 27ans joue toujours avec l equipe releguable de gaziantep, et a fait 11 matchs cette saison seulement.
Et umut meras 28 ans ne joue quasiment plus avec le besiktas (6 matchs cette saison) Les 9 derniers matchs sur le banc ou meme pas convoqué dans le groupe
Merineferet a écrit : ↑07 avr. 2024 08:29
Que les américains prennent bien soin de notre joueur, nous on fait de même avec le leur.
3 buts en 2 matchs
Jamal, c'est pas le genre de joueur qu'on oublie.
Trop content pour lui.
Le 2ème but a vraiment de la classe.
L'air américain change tout.
"Il faut une grande maturité pour comprendre que l'opinion que nous défendons n'est que notre hypothèse préférée ,imparfaite ,transitoire ,que seuls les très bornés peuvent faire passer pour une certitude ou une vérité."" Milan Kundera.
24Satangel a écrit : ↑09 avr. 2024 14:20On regrettera Umut Meras qui était pas dégueu, pour le reste, bon vent !
La polyvalence et le sérieux de Nolan auraient pu nous apporter lors des absences conjuguées de Daler et Oussama.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
PREDBOURNOV65 a écrit : ↑05 avr. 2024 00:44
Triste nouvelle pour moi car ce fut mon idole de jeunesse (d'où le début de surnom) . Avec Bourgier, Bazaud, Brenier, Lamy etc...
C'était un super technicien au poste de n°10 avec un pied gauche magique notamment pour les coups franc et corners . Je le voyais s'entraîner à la Cavée quand j'étais à l'école de foot du HAC en 1965 et j'essayais de le copier.
Contre la première équipe du PSG en 70, ce fut le roi du terrain devant les internationaux comme Djorkaeff père ou JC.Bras.
J'ai eu l'occasion de discuter avec lui il y a 4 ou 5 ans et lui dire toute mon admiration.
Il a eu des propositions de club pro après son service militaire mais à toujours voulu rester fidèle au HAC et à ses copains.
Triste de pouvoir aller à son inhumation car à l'étranger actuellement mais j'espère que le club lui fera un vibrant hommage car il le méritait. Il a incarné les valeurs du HAC et à permis au club de survivre quand on était descendu en DH.
R.I.P Daniel et merci pour m'avoir transmis la passion du HAC qui dure depuis 59 ans.
Je reviens sur le décès de Daniel Predhomme en date du 29 mars dernier. Il y avait beaucoup de monde à son inhumation et plusieurs de ses anciens coéquipiers mais ensuite dimanche dernier, aucun hommage des dirigeants du HAC pas plus que du Kop et j'ai trouvé ça consternant pour un serviteur fidèle du HAC pendant les années 70 qui a permis au club d'exister à un bon niveau.
Je sais que pas beaucoup de dirigeants doivent le connaître et encore moins les membres du kop mais les Bourgier, Belsoeur qui sont encore au club auraient pu y penser.
Dans le fidèle public il plusieurs anciens qui l'ont connu et ce serait un minimum de lui rendre cet hommage en leur présence.
J'ai rencontré Alain Belsoeur ( au club depuis la fin des années 60) ce matin et je lui ai fait part de mon indignation, je ne sais pas s'il pourra ou voudra faire quelque chose pour le match de demain ou celui de Strasbourg.....
En tout cas moi ça m'a déconcentré complètement pendant le match contre Nantes et le résultat n''était plus que secondaire pour moi.
ootball. « C’était trop compliqué » : Vikash Dhorasoo revient sur la fin de son aventure à Caucriauville
Parti de Caucriauville (R1) en cours de saison, Vikash Dhorasoo confirme que les allers-retours entre Paris et Le Havre étaient devenus trop contraignants pour lui. Désormais en poste au Blanc-Mesnil, l’apprenti technicien se dit déterminé à entraîner un jour à « très haut niveau ».
Vikash Dhorasoo n’aura finalement passé qu’une partie de la saison au stade Jules-Ladoumègue de Caucriauville
Vikash Dhorasoo était mercredi 17 avril au Havre pour récompenser les jeunes du centre de formation du HAC dans le cadre de la traditionnelle cérémonie des Majors. « C’était top. Ce genre de soirée est importante pour montrer que la Cavée Verte tient toujours une place déterminante au sein du club », a apprécié l’ex-milieu international (50 ans), tout heureux également d’y « croiser d’autres anciens Hacmen » (Thierry Moreau, Jean-Michel Lesage, Nicolas Douchez, Kevin Anin, Anthony Le Tallec). Dhorasoo est également depuis quelques semaines un ex-Caucriauvillais, qu’il était redevenu dans le cadre de son Brevet d’entraîneur de football (BEF). Il s’explique.
Pourquoi avoir quitté Caucriauville en cours de saison ? Il semble que les allers-retours entre Paris et Le Havre étaient devenus trop contraignants ?
« Oui, c’est la seule et unique raison. Je faisais les allers-retours en train ou en voiture, cela dépendait. Trois fois par semaine pour les entraînements, plus les matches. J’ai fait le maximum pour être là le plus souvent possible. Mais c’était trop compliqué avec le travail (en premier lieu consultant pour La chaîne L’Equipe) et les dossiers à rendre dans le cadre du diplôme, qui est quand même assez costaud. Je savais que ce serait sportif, ça l’a été, et je tiens surtout à remercier les gens du club d’avoir tenté le coup avec moi, la façon dont ils m’ont accueilli. On aura essayé. Et cela restera une super expérience. »
En quoi vous aura-t-elle été bénéfique ?
« Par la pratique, déjà. On nous apprend plein de choses durant les cours du BEF, mais rien ne vaut la mise en situation. Faire des séances, des séances, des séances… J’ai appris beaucoup auprès de Kalidou (Thioubou) et des autres membres du staff. Avec l’équipe première, il y avait bien sûr un objectif de victoire, mais je me suis intéressé à la vie du club dans son ensemble, notamment avec la section féminine. Je suis content d’avoir repassé du temps avec les habitants, les gens du club, qui font un travail hyper important pour la vie de notre quartier. »
« Il m’a fallu trouver ma place, mettre mon ego de côté »
Le fait de n’être qu’adjoint n’a-t-il pas été trop difficile à accepter étant donné votre vécu ?
« Je pense qu’il faut en passer par là pour démarrer. On ne peut pas se décréter comme ça numéro un, surtout avec des adultes qui jouent en Régional 1. Il m’a fallu observer, trouver ma place, mettre mon ego de côté. C’est aussi le but de cette formation : passer du statut de joueur un peu individualiste que j’ai pu connaître au très haut niveau, à celui d’entraîneur au service du collectif. »
Un rôle que vous exercez désormais auprès des U16 du Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis ?
« Oui, c’est une section sport-études labellisée FFF, autant dire que les joueurs sont d’un bon niveau. Mais ce n’est pas la seule équipe que je côtoie : il y a quinze jours, j’ai coaché les 13 ans lors d’un match face au Red Star, le lendemain j’étais avec les U16 en tant qu’adjoint et le vendredi à l’entraînement des U18. Comme le coach des U16 est également devenu celui de la première en R1, je peux aussi observer cette équipe-là. Cela complète bien ce que j’ai pu connaître à Caucriauville. »
« J’espère être coach principal la saison prochaine »
Où en êtes-vous dans votre BEF ?
« Je passe ma certification le 30 avril. Si je l’obtiens, j’enchaînerai sur le DES (Diplôme d’état supérieur, mention football), qui dure également une saison, que je passerai logiquement au Blanc-Mesnil. »
Vous vous sentez donc fait pour ce métier d’entraîneur ?
« Ah oui, cela me plaît beaucoup. De préparer les séances, de les animer ensuite, d’être présent le jour du match. J’étais adjoint cette année mais j’espère être coach principal la saison prochaine. J’ai très envie de continuer à progresser, d’aller le plus loin possible, d’entraîner à très haut niveau. Il faut se fixer des objectifs élevés, rêver. J’ai envie de transmettre tout ce que j’ai pu apprendre auprès de tous les joueurs et entraîneurs que j’ai côtoyés. »
Le séjour de Lys Mousset dans la Rhur a été catastrophique avec 0 minutes jouées, le contrat a été rompu en janvier et Lys n'a pas de club depuis.
Pour les non Germanophones le papier dit que Bochum a mis fin au "malentendu". Lys serait arrivé en surpoids à Bochum, plusieurs fois en retard à l'entraînement et manifestement sans une grande volonté de jouer en Bundesliga. Il est vrai que l'Allemagne n'est pas le pays le plus facile pour s'adapter rapidement, à commencer par la langue.
D'après le papier sa valeur marchande serait tombée à 400 000 euros, il a 27 ans et il est en méforme. C'est vraiment dommage c'était un bon joueur au HAC et il aurait sûrement pu faire son trou dans une première division (ce qu'il a fait temporairement à Bournemouth).
Le séjour de Lys Mousset dans la Rhur a été catastrophique avec 0 minutes jouées, le contrat a été rompu en janvier et Lys n'a pas de club depuis.
Pour les non Germanophones le papier dit que Bochum a mis fin au "malentendu". Lys serait arrivé en surpoids à Bochum, plusieurs fois en retard à l'entraînement et manifestement sans une grande volonté de jouer en Bundesliga. Il est vrai que l'Allemagne n'est pas le pays le plus facile pour s'adapter rapidement, à commencer par la langue.
D'après le papier sa valeur marchande serait tombée à 400 000 euros, il a 27 ans et il est en méforme. C'est vraiment dommage c'était un bon joueur au HAC et il aurait sûrement pu faire son trou dans une première division (ce qu'il a fait temporairement à Bournemouth).
Ça sent la fin de carrière.
D'ailleurs, ça ressemble de plus en plus à l'exemple type de mauvais exemple de carrière à montrer aux jeunes dans les centres de formation pour leur expliquer de parfaitement faire l'inverse.
Je ne regrette pas son départ du HAC, il était inéluctable à l'époque et le club avait touché un joli chèque.
Ce que je regrette, c'est que des clubs de L1 s'était manifestés pour un prêt lorsqu'il moisissait sur le banc de Bournemouth et qu'il avait décliné, préférant garder son train de vie et confort anglais quitte à ne pas jouer.
Finalement, il a fait 6 mois de bons à Sheffield (je me rappelle de ces buts contre Man U & Tottenham notamment), puis à nouveau plus rien.
Sinon, effectivement, joueur talentueux mais très souvent en surpoids, ce qui laisse transparaître une vie perso par forcément en adéquation avec une carrière dans le sport pro.
