[REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
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La campagne de préparation estivale du HAC, qui débutera le lundi 1er juillet 2024, sera parsemée de six matches amicaux, dont au moins deux face à des écuries étrangères, peut-être trois. Retrouvez ici le programme quasi complet.
Comme l’an dernier, le HAC de Steve Ngoura affrontera le SM Caen de Romain Thomas cet été dans le cadre du Trophée des Normands
J-2 avant le retour des Ciel et Marine au centre d’entraînement de Soquence, lundi 1er juillet 2024, qui sera également le jour de présentation officielle de leur nouvel entraîneur, Didier Digard.
Après six semaines de vacances, les Hacmen débuteront une phase de préparation qui s’étirera sur le même laps de temps, jusqu’à la réception du PSG au Stade Océane, le week-end du 16 août, à l’occasion de la 1ère journée de Ligue 1.
Le stage en Bretagne annulé
Six semaines de « prépa » pour autant de matches amicaux, mais un seul stage au lieu de deux. Alors qu’il avait prévu de passer quelques jours au cœur du magnifique Château du Bois-Guy (Ille-et-Vilaine) à la mi-juillet, le HAC a eu la surprise d’apprendre que les responsables du « Clairefontaine breton » lui avaient préféré la plus prestigieuse sélection olympique argentine.
D’abord maintenue, la rencontre (censée clore le stage) face à Fougères (N3), programmée le samedi 20 juillet, pourrait être finalement remplacée par une opposition face à une sélection de joueurs locaux, à Soquence.
Les Havrais enchaîneront face à deux formations de Ligue 2, Clermont, le mercredi 24 juillet près de Tours, puis Caen, le samedi 27 juillet à Deauville, à l’occasion du Trophée des Normands.
L’AZ Alkmaar et le NEC Nimègue au menu
Viendra ensuite le moment pour Digard et ses hommes de s’envoler pour l’étranger et les Pays-Bas, où ils seront en stage du lundi 29 juillet au samedi 3 août, près du village de Garderen, en plein centre du pays. Ils en profiteront pour affronter deux pensionnaires de l’élite néerlandaise, l’AZ Alkmaar (4e/18) le mercredi et le NEC Nimègue (6e/18) le vendredi.
Avant de rentrer en France et de refermer leur campagne amicale par un ultime test au Stade Océane, le samedi 10 août, galop d’essai que le club doyen aimerait inédit. Raison pour laquelle le HAC avait un temps imaginé y affronter Ipswich Town, mais les exigences du promu en Premier League l’ont amené à se tourner vers la Bundesliga.
Les noms d’Augsbourg (11e/18) et de Kiel (promu) ont été évoqués ces derniers jours, mais il faudra attendre encore un peu afin de permettre au HAC de finaliser son programme, lequel aura logiquement subi divers ajustements au fil des dernières semaines (comme à l’été 2023, un duel au Campus PSG avait un temps été prévu).
Le programme quasi complet
Samedi 20 juillet : HAC – Fougères (N3) ou sélection régionale, à Soquence
Mercredi 24 juillet : HAC – Clermont (L2), à 18 h à Ballan-Miré (Indre-et-Loire)
Samedi 27 juillet : HAC – Caen, à 18 h à Deauville
Mercredi 31 juillet : HAC – AZ Alkmaar, à 19 h à Alkmaar
Vendredi 2 août : HAC – NEC Nimègue, à 19 h à Nimègue
Samedi 10 août : HAC – ???, au Stade Océane
Par David Poisnel de Paris-Normandie.
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Le HAC a officialisé ce lundi 1er juillet 2024 l’arrivée de Didier Digard en tant que nouvel entraîneur de l’effectif professionnel. A bientôt 38 ans, l’ancien milieu de terrain s’est engagé pour deux saisons avec son club formateur.
C’était attendu, c’est désormais officiel : le Havre AC a confirmé ce lundi 1er juillet 2024, jour de reprise de l’effectif ciel et marine, l’arrivée de Didier Digard en tant que nouvel entraîneur.
A bientôt 38 ans (il les fêtera le 12 juillet), l’ancien milieu de terrain succède à Luka Elsner, parti à Reims après avoir fait monter et maintenu le HAC dans l’elite.
Sa deuxième expérience sur un banc de L1
Responsable du groupe Elite (réserve) niçois ces derniers mois, en même temps qu’il suivait la formation du BEPF (Brevet d’entraîneur de football professionnel), Didier Digard vivra sur le banc ciel et marine sa deuxième expérience à la tête d’une équipe de Ligue 1, après avoir dirigé l’OGC Nice au cours du premier semestre 2023.
Originaire de Gisors dans l’Eure, l’ancien milieu de terrain ne débarque pas en terrain inconnu au HAC, lui qui y a été formé et disputé 82 matches chez les pros entre 2004 et 2007.
Engagé pour deux saisons, Digard donnera sa première conférence de presse en tant que coach du club doyen ce lundi en début d’après-midi, au sein de la salle de presse du Stade Océane.
Par D.P de Paris-Normandie.
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Ciel et Marine de 12 à 21 ans, parti en 2007 vers le Paris Saint-Germain, le Gisorsien Didier Digard effectuera ce lundi 1er juillet 2024 son grand retour au sein de son club formateur. En qualité d’entraîneur de l’effectif professionnel.
Les mèches étaient blondes et le menton glabre. Dix-sept ans presque jour pour jour plus tard (il s’était engagé avec le PSG le 3 juillet 2007), Didier Digard signera, ce lundi 1er juillet 2024, son retour au sein de la maison ciel et marine, le cheveu ras et la barbe fournie, par la plus grande des portes.
Ce HAC que le talentueux gamin de l’Entente girsosienne avait rejoint dès l’âge de 12 ans et que son tempérament bagarreur avait failli le contraindre à quitter quelques mois plus tard. « Mohamed Sall, mon coach en moins de 13 ans, avait fait le forcing pour que le club me garde. Il croyait en moi et m’avait surtout compris. Pour ça, je l’en remercie encore », confiait Didier Digard dans une interview à Nice-Matin en 2011.
« On ne peut pas nier que d’avoir un enfant à 16 ans, ça change tout »
Brillant ballon au pied, systématiquement surclassé, international tricolore des U16 aux Espoirs, le milieu de terrain portera finalement durant neuf saisons les couleurs du Havre AC, dont il fut l’un des plus jeunes capitaines de l’histoire, à 20 ans. « Il n’était pas du genre à rester dans son coin et écouter les anciens sans rien dire, racontait un jour à Ouest France Thierry Uvenard, son entraîneur d’alors. C’est quelqu’un qui a été mature très tôt. La paternité l’a obligé à s’assumer très vite. »
« On ne peut pas nier que d’avoir un enfant à 16 ans, ça change tout, n’a jamais caché l’intéressé (L’Équipe), devenu père d’un petit Rayan du temps il arpentait encore les couloirs de la Cavée Verte. J’ai dû prendre conscience très rapidement que j’avais d’autres obligations et d’autres priorités que les gens du même âge. »
Précoce également sur le terrain, Digard a 21 ans et déjà 82 matches chez les professionnels (4 buts) lorsqu’il quitte son club formateur pour le PSG, moyennant 2,5 M€. Un rêve pour celui qui vibrait petit devant les exploits de George Weah aux côtés de son père et premier entraîneur, prénommé lui aussi Didier, grand supporter du club de la capitale. Mais une expérience qui tourna court, l’obligeant à mettre le cap sur Middlesbrough et l’Angleterre dès l’été suivant, avant de revenir un an et demi plus tard en Ligue 1, à Nice (2010-2015), où l’homme, très famille (il compte désormais cinq enfants), a construit sa vie, et où le joueur, accrocheur et technique, a disputé plus de la moitié (163 sur 319) des matches d’une carrière achevée poussivement en Espagne (Betis Séville, Osasuna, Lorca). À seulement 32 ans.
« Il sait parler à tout le monde, s’adapte à toutes les générations »
« Didier n’a pas eu une carrière à la hauteur de son talent à cause des blessures », rappelle son pote et ancien partenaire (au HAC et à Nice) Kévin Gomis (Paris Normandie du 7 mars 2023), alors que le palmarès de l’ancien champion d’Europe U19 (2005) n’affiche qu’une Coupe de la Ligue (en 2008 avec le PSG). Dans chaque vestiaire où « DD » est passé, il est toutefois un trait de caractère qui n’a jamais bougé : son leadership. « Il sait parler à tout le monde, s’adapte à toutes les générations. Tu vois que les joueurs sont réceptifs », témoigne dans So Foot son « frangin » Kévin Anin.
Ainsi Digard hérita-t-il du brassard de l’OGC Nice à seulement 25 ans à l’issue d’un vote effectué à bulletins secrets par le vestiaire azuréen, au sein duquel il fut un peu plus tard le capitaine d’un certain Mathieu Bodmer (2013-2015).
La voie semblait dès lors toute tracée en vue de sa reconversion ? « Inimaginable », se disait pourtant le jeune retraité à la perspective de devenir entraîneur, finalement convaincu par Julien Fournier, le DG de Nice, de revenir apprendre le métier au sein de l’institution rouge et noir. Ce qu’il fit fin 2019 auprès des U17 d’abord, de la réserve ensuite, puis en tant qu’adjoint des pros, jusqu’à se voir propulser sur le devant de la scène en janvier 2023 en remplacement de Lucien Favre.
Féru de vidéos et de datas, adepte d’un jeu protagoniste
En est resté un démarrage incroyable (14 matches sans défaite), une suite un peu plus laborieuse mais un bilan positif dans l’ensemble (10V, 7N, 4D, 4e de L1 sur la période), insuffisant toutefois pour lui permettre de poursuivre sa mission. « Je me dis que j’ai vécu cinq mois de formation accélérée », résumait-il en décembre dernier lorsque L’Équipe était allé le rencontrer sur les bancs du BEPF (Brevet d’entraîneur de football professionnel). Digard entraînait en parallèle le groupe Élite de l’OGCN, entouré de « six techniciens, trois analystes, trois préparateurs physiques, deux entraîneurs des gardiens et une diététicienne. »
On le dit féru de vidéos et de datas, aussi proche de ses hommes que franc avec eux, soucieux de développer un football protagoniste – « L’intensité est la base du foot moderne », répète-t-il –, profondément marqué par les préceptes de Quique Setién au Betis. « Il était prêt à mourir avec ses idées. » Mais Digard entraîneur, c’est aussi un look – « Je m’habille juste pour me sentir bien », balaye l’adepte du sweat à capuche – et un style bien à lui face aux micros. Posé. Réfléchi. À quelques jours de célébrer ses 38 ans (le 12 juillet), l’enfant de la Cavée prononcera ce lundi (aux alentours de 15 h dans la salle de presse du Stade Océane) ses premiers mots en tant qu’entraîneur du Havre AC. Dix-sept ans après.
Par David Poisnel de Paris-Normandie.
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INFO L'EQUIPE. Afin de répondre à la baisse du temps de jeu des jeunes pros, la FFF et la LFP vont lancer début octobre une nouvelle compétition, la Ligue des Espoirs.
Une nouvelle compétition va voir le jour : la Ligue des Espoirs. Confrontés depuis plusieurs années à une baisse du temps de jeu des jeunes pros (matches pros le dimanche, bancs de touche qui s'allongent) et à la réforme des Championnats (la plupart des réserves évoluent désormais en N3), les formateurs français ont lancé l'idée d'un nouveau format.
16 clubs, 6 matches, puis des demies et une finale
Concrètement, 16 clubs (Toulouse, Monaco, Saint-Etienne, Nantes, Montpellier, Strasbourg, PSG, Paris FC, Ajaccio, Auxerre, Nice, Bordeaux, Rennes, Caen, Le Havre et l'OM) seront engagés, sur six dates, en plus des demi-finales et de la finale, à partir du mois d'octobre. Le format reste à travailler mais les matches dureront 1h30, sans prolongation (directement des tirs au but), avec l'objectif de donner un maximum de temps de jeu aux jeunes. Les matches auraient lieu le lundi à 14h30, avec la possibilité de s'arranger si nécessaire, sur terrain en herbe et sans public pour des questions de logistique. Seuls le dernier carré et la finale se joueront devant des spectateurs.
Hubert Fournier, DTN
Cette compétition se rapproche dans l'idée de celle qui est mise en place au Portugal, avec des jeunes âgés de 18 à 20 ans, et la possibilité de faire jouer 4 professionnels de plus de 23 ans. Un schéma similaire existe aussi en Angleterre, mais la moyenne d'âge tourne davantage autour de 18 ans. « Certains de nos meilleurs potentiels n'avaient plus la possibilité de jouer le week-end, souligne Hubert Fournier, le DTN. On a eu beaucoup de discussions avec les directeurs des centres de formation et ce sujet remontait depuis plusieurs années ».
Cette nouvelle compétition ne signifie pas, par ailleurs, que les réserves se retireront des Championnats amateurs. Le système est complémentaire. « On part sur six matches pour l'instant et on va écouter les directeurs de centre de formation pour savoir s'ils en veulent plus », assure Fournier, sachant que le calendrier des pros, surtout pour les clubs qualifiés en Coupe d'Europe, ne permet pas de libérer beaucoup de dates. Fournier explique, enfin, que ce résultat est le fruit d'une coopération entre la Ligue et la FFF.
Thomas Doucet (avec Johan Rigaud)
publié le 2 juillet 2024 à 12h01
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De retour d’un prêt concluant à Dunkerque (L2), le jeune gardien ivoirien Mohamed Koné (22 ans) ne portera plus le maillot du Havre AC. Il s’est engagé pour les trois prochaines saisons avec le club belge de Charleroi.
Arrivé en 2020 de Torcy, Mohamed Koné aura passé quatre saisons au sein du club doyen
Ils étaient quatre sous contrat, donc manifestement un de trop en vue du prochain exercice. Et alors qu’Arthur Desmas, Mathieu Gorgelin et Paul Argney ont effectué lundi 1er juillet leur reprise avec le Havre AC, Mohamed Koné s’est quant à lui engagé avec le club belge du Sporting Club de Charleroi, 13e (sur 16) et maintenu en play-dows du dernier exercice de Jupiler Pro League, qui lui a offert un contrat de trois saisons (plus une en option).
Une seule apparition avec les pros au HAC
À 22 ans, et après quatre années au HAC, qu’il avait déjà failli quitter à l’été 2022 avant d’être « rattrapé » in extremis par la nouvelle direction, l’international Espoirs ivoirien donne ainsi une nouvelle orientation à sa carrière. Il sortait d’un prêt de dix mois concluant à Dunkerque, en Ligue 2, et disposait encore d’une année de contrat avec le club doyen. Il n’aura disputé, en tout et pour tout, qu’une seule rencontre professionnelle sous les couleurs ciel et marine, en janvier dernier, en 32es de finale de la Coupe de France contre Caen.
Par la rédaction de Paris-Normandie.
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Ouverte ce mardi 2 juillet à 10 h, la campagne d’abonnement 2024-2025 du HAC a vu s’écouler plus de 1 500 sésames en l’espace d’une heure. Les 2 000 disponibles n’auront de ce fait aucun mal à trouver preneur dans la journée.
Le Stade Océane totalisera 12 000 abonnés grand public (13 000 en comptant les prestations VIP) au cours de la prochaine saison de Ligue 1
Quelques heures ? Quelques jours ? S’ils ne doutaient pas d’écluser les 2 000 abonnements mis en vente, ce mardi 2 juillet 2024, à destination de nouveaux fidèles, les dirigeants du HAC se demandaient à quelle vitesse cette campagne d’abonnement allait donc faire le plein.
Ils ont rapidement eu leur réponse : en l’espace d’une heure, soit entre 10 et 11 h ce mardi, plus de 1 500 sésames avaient déjà trouvé preneur sur la billetterie en ligne du club doyen, et ce malgré des tarifs non négligeables (entre 400 et 500 € en plein tarif), l’essentiel des places disponibles se situant en tribune latérale Est.
Un engouement qui ne se dément pas
À peine lancée, la campagne d’abonnement devrait donc refermer ses portes dans la journée, preuve que l’effet Ligue 1 et l’engouement autour du HAC sont toujours aussi vifs au coeur et autour de la cité océane. Qu’importent les incertitudes générées par les modestes moyens dont disposent le club sur le marché des transferts et le changement d’entraîneur.
Pour leur deuxième saison dans l’élite, les Hacmen pourront ainsi compter sur le soutien de pas moins de 12 000 abonnés grand public, 13 000 en comptant les prestations VIP, désormais fidélisés au Stade Océane.
Par David Poisnel
Publié:
2 Juillet 2024 à 12h53
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Le HAC pourrait bientôt enregistrer ses premiers renforts. Sur ses tablettes figurent en effet les noms de Yanis Zouaoui (Martigues) et Ruben Londja (Lausanne).
Yanis Zouaoui, ici avec Martigues face au FC Rouen la saison dernière, devrait être l’une des deux premières recrues du HAC
Deux premiers renforts pourraient bientôt s’engager avec le Havre AC. Comme annoncé par nos confrères de Foot Mercato, l’arrière gauche Yanis Zouaoui (26 ans) devrait poser ses valises au Havre. Joueur de Martigues, le natif de Marseille a connu une progression continue et a été présent dans le onze-type du championnat National en 2022-2023 et 2023-2024. Si bien que le HAC, obligé de flairer ce genre de « coups » en raison d’un budget serré, n’est pas resté insensible à son profil.
On scrute tous les championnats. Peut-être qu’on ira à nouveau piocher en National, voire en N2 ou en N3.
« On s’intéressait déjà à ces championnats dans le passé, mais encore un peu plus aujourd’hui, explique Mathieu Bodmer, directeur sportif du HAC, en référence à la probable arrivée de Zouaoui. Ce sont des divisions avec beaucoup de qualité, qui hébergent des joueurs qui s’y retrouvent parfois par défaut. Ils n’ont peut-être pas le même cursus que les pros, mais ils ont des expériences et un vécu très intéressants. Nous avons des yeux partout. Peut-être irons-nous à nouveau piocher en National, voire en N2 ou en N3. Nous n’avons pas de préjugés sur le niveau des joueurs qui évoluent dans ce genre de championnats. »
Les profils étrangers sont également passés au peigne fin. Justement, un Suisse semble sortir du lot. Il s’agit de Ruben Londja (18 ans). L’ailier droit est en fin de contrat avec Lausanne (Suisse) et a annoncé sur son compte Instagram qu’il ne prolongerait pas l’aventure sur les bords du lac Léman.
International dans les catégories jeunes (U16, U17 et U18), l’ailier droit est considéré comme un joueur à fort potentiel. Un accord oral pour un contrat jusqu’en 2028 aurait été trouvé entre les deux parties selon le média local 4-4-2.ch. Rapide et technique malgré sa taille (1,90 m), le Suisse est adepte des un contre un et n’hésite pas à prendre la profondeur. Lors de la saison 2021-2022, il a inscrit 13 buts en 20 matches avec les U17 lausannois, tandis qu’un an plus tard, lors de l’exercice 2022-2023, il a marqué à 14 reprises en 30 rencontres avec les U18.
Par Antonin Bardin de Paris-Normandie.
- titanhac76
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Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
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Ismaïl Bouneb a signé au HAC
Par Santi Aouna - Josué Cassé - 03/07 - 09:55
1 min.
Ismaïl Bouneb lors du Mondial U17 face à l'Allemagne. @Maxppp
Les choses s’accélèrent dans la cité portuaire. Après l’arrivée de Didier Digard sur le banc du Havre, la direction des Ciel et Marine s’active pour façonner le nouveau visage du HAC version 2024-2025. Dans cette optique, les Normands sont en passe d’accueillir Yanis Zouaoui, latéral gauche passé par Martigues, mais également Ruben Londja, ailier droit qui vient de quitter Lausanne-Sport. Mais ce n’est pas tout. Selon nos dernières informations, le club doyen devrait également officialiser une troisième recrue dans les prochaines heures. Son nom ? Ismaïl Bouneb. Formé à Valenciennes, ce jeune milieu offensif de 18 ans, a, en effet, signé ce mardi un contrat de 4 saisons chez les Hacmens et s’apprête donc à renforcer l’attaque du dernier 15e de Ligue 1.
Auteur de 12 buts et 1 passe décisive avec les U19 du club valenciennois la saison passée, le natif de Lille, brillant avec les jeunes de l’équipe de France lors de la Coupe du Monde U17 en 2023, avait par ailleurs connu sa première en Ligue 2 en décembre dernier lors de la réception du Paris FC. Technique, doté d’une très belle vision du jeu et adroit face au but, le franco-algérien a donc séduit les dirigeants havrais, à la recherche de belles opportunités malgré des moyens limités. Un nouveau joli coup réalisé par Mathieu Bodmer et ses équipes. L’officialisation est elle attendue dans les prochaines heures…
- titanhac76
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Le Havre AC commence à s’activer sur le marché des transferts. Ce mercredi 3 juillet 2024, le club doyen a annoncé l’arrivée de son premier renfort. Le prometteur Ismail Bouneb, milieu offensif de 18 ans en provenance de Valenciennes.
Depuis quelques jours, certaines rumeurs - et noms de joueurs (Zouaoui, Londja...) - reviennent avec insistance sur les réseaux sociaux. Pas celui d’Ismail Bouneb (18 ans). Pourtant, ce mercredi 3 juillet 2024, le milieu offensif est bel et bien devenu la toute première recrue du Havre AC lors ce mercato estival qui tend à se réveiller après l’arrivée, officielle depuis lundi 1er juillet 2024, de Didier Digard sur le banc havrais.
Un joueur technique et adroit devant les buts
Les moyens limités du club havrais forcent les dirigeants à être créatifs. A parié sur l’avenir aussi. C’est pourquoi ils ont jeté, ce mercredi 3 juillet, leur dévolu sur le Franco-Algérien qui, dans sa carrière, n’a que 30 minutes de jeu à son compteur dans le monde professionnel (défaite 0-1 contre le Paris FC en Ligue 2). Désormais ex-joueur de Valenciennes (où il est arrivé en 2017 en provenance du LOSC), il s’est engagé pour quatre saisons avec les Ciel et Marine et viendra donc compléter un secteur offensif à la peine la saison passée (34 buts inscrits en autant de rencontres).
Ismail Bouneb arrive libre de tout contrat après la relégation du VAFC en National à l’issue de la saison 2023/2024. Vice-champion du monde U17 avec l’équipe de France en 2023, aux côtés d’un certain Paul Argney, qui vient tout juste de signer son premier contrat professionnel avec les Ciel et Marine, il a brillé lors de cette Coupe du Monde avec deux buts et trois passes décisives. Le néo-Havrais est décrit comme un joueur doté de grandes qualités techniques et très adroit devant le but. La saison passée, il a inscrit onze buts et délivré une passe décisive en quatorze matches en National U19. Il a notamment marqué à trois reprises contre les réservistes... du HAC. De quoi taper dans l’oeil des dirigeants havrais.
Djamal Moussadek rejoint Versailles
Dans l’autre sens, celui des départs, Djamal Moussadek (22 ans), qui a passé la dernière saison à Villefranche (National), s’est engagé avec le FC Versailles pour deux saisons plus une en option. Recruté libre il y a deux ans, le défenseur central n’est jamais apparu avec l’équipe première en championnat et une seule fois en Coupe de France le 29 octobre 2022 lors de la défaite du club doyen contre Alençon (3-3, 5-3 tab.). Il compte également une apparition avec les U23 du Maroc. Le HAC continue donc de dégraisser son effectif un jour après le départ de son gardien Mohamed Koné vers Charleroi (Belgique).
Oussama Targhalline courtisé, le HAC veut le prolonger
Logiquement courtisé, Oussama Targhalline (22 ans) serait sur les tablettes des Glasgow Rangers (Écosse). Le HAC souhaiterait conserver son milieu de terrain formé à l’Olympique de Marseille. Pour le moment, aucune offre n’est, pour l’instant, arrivée sur la table du club doyen. Des discussions sont même en cours avec les dirigeants havrais pour une éventuelle prolongation de contrat.
Par Antonin Bardin Paris Normandie
Publié:
3 Juillet 2024 à 16h53
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Fier de tes origines , fils d’Oxford et Cambridge, deux couleurs font notre prestige Ciel & Marine
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Ce jeudi 4 juillet 2024, le Havre AC a officialisé sa deuxième recrue estivale. Ruben Londja, jeune espoir suisse de 18 ans, a paraphé un contrat de quatre ans avec le club doyen.
Ruben Londja s’est engagé avec le Havre AC jusqu’en 2028
C’était un secret de polichinelle. Cela faisait plusieurs jours que le nom de Ruben Londja (18 ans) revenait avec insistance. C’est désormais officiel, le jeune ailier a paraphé un contrat de quatre ans avec le Havre AC ce jeudi 4 juillet.
Un jeune avec un très gros potentiel
Un contrat à long terme pour le Suisse qui arrive tout droit de Lausanne (SUI), son club formateur. Il est donc la deuxième recrue havraise de ce mercato estival. L’attaquant s’est illustré dans toutes les catégories de jeunes avec le club lausannois. Des performances qui lui ont valu plusieurs convocations avec l’équipe nationale suisse en U16, U17 et U18.
Malgré sa taille (1,90 m), Ruben Londja est décrit comme un joueur technique, vif et rapide qui n’hésite pas à provoquer en un contre un et prendre la profondeur. Ailier droit, malgré le fait qu’il soit gaucher, il semble être un joueur polyvalent. C’est a priori un joueur à fort potentiel qui rejoint le HAC.
Par Antonin Bardin de Paris-Normandie.
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
Après plusieurs jours de tests physiques et médicaux, les Ciel et Marine de Didier Digard effectueront leur première séance d’entraînement le samedi 6 juillet 2024 au centre technique de Soquence. Celle-ci sera ouverte au public.
Retenus en sélection jusque début juin, Yassine Kechta et Arouna Sangante ont retrouvé ce jeudi le centre technique de Soquence
Officiellement ouverte depuis le lundi 1er juillet, l’ère II de Didier Digard au HAC vivra une étape symbolique, ce samedi 6 juillet, avec la première séance d’entraînement dirigée par le successeur de Luka Elsner, programmée à partir de 10 h 30.
Après cinq jours consacrés aux différents tests physiques et médicaux, les Ciel et Marine s’apprêtent ainsi à retrouver le terrain, le ballon, mais également leurs supporters, puisque les portes du centre technique de Soquence seront en effet grandes ouvertes.
Avec les premières recrues
L’occasion pour les fans du HAC de découvrir les premières recrues estivales, le jeune milieu Ismail Bouneb, transfuge de Valenciennes, le jeune ailier suisse Ruben Londja, en provenance de Lausanne. Mais également de retrouver la quasi totalité des membres de l’exercice 2023-2024, seuls le gardien Mohamed Koné (Charleroi, Bel) et le défenseur Djamal Moussadek (Versailles, Nat) ayant pour l’heure officiellement quitté le club doyen.
Manqueront toutefois à l’appel quelques éléments : Loïc Nego, éliminé de l’Euro avec la Hongrie sans avoir pu disputer la moindre minute en raison d’une blessure à une cuisse. Yoni Gomis et Steve Ngoura, actuellement en stage à Clairefontaine en vue de l’Euro U19 (le groupe de Bernard Diomède sera réduit de 30 à 21 joueurs le 13 juillet). Ou encore Abdoulaye Touré, qui a pris part début juin aux éliminatoires du Mondial 2026 avec la Guinée et reprendra directement, sans passer par la case « Soquence », avec la sélection olympique guinéenne en vue des JO.
Kechta et Targhalline de passage
Un tournoi auquel participeront également Yassine Kechta et Oussama Targhalline, de retour au Havre ce jeudi pour le premier, vendredi pour le second, pour quelques jours seulement, puisque les deux milieux rejoindront les Espoirs marocains dans le courant de la semaine prochaine.
Sur le pont également au mois de juin avec leur sélection, Christopher Opéri, qui a vécu son baptême avec les Éléphants de la Côte d’Ivoire, et Antoine Joujou, acteur du Tournoi Maurice-Revello avec les U20 tricolores (2 titularisations, 3 entrées), sont quant à eux attendus ce week-end dans la cité océane.
Par D.P de Paris-Normandie.
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Le Havre AC a officialisé sa troisième recrue du mercato estival. Attendu depuis plusieurs jours, Yanis Zouaoui s’est engagé ce vendredi 5 juillet avec le club doyen pour trois saisons.
Yanis Zouaoui, ici avec le maillot de Martigues (à gauche), est la troisième recrue des Ciel et Marine
Ces deux derniers jours, il y a eu les signatures d’Ismaïl Bouneb et de Ruben Londja, désormais, celle de Yanis Zouaoui (26 ans) s’ajoute à la liste. L’arrière gauche franco-algérien est officiellement devenu un joueur du Havre AC ce vendredi 5 juillet 2024 et s’est engagé pour trois saisons.
Un meneur de jeu devenu arrière gauche
Ce dernier arrive tout droit de Martigues où il n’a cessé de progresser ces deux dernières saisons. Au point d’être nommé dans le « onze » de l’année en National lors des deux précédentes éditions. Un profil qui dénote un peu des deux autres signatures puisque le défenseur possède une expérience plus large avec notamment un passage à l’étranger à l’ACS Foresta Suceava (Roumanie).
La saison passée, il a inscrit deux buts et délivré quatre passes décisives. Le natif de Marseille n’a pas l’air d’avoir perdu ses qualités offensives, lui qui a d’abord été formé en tant que meneur de jeu avant de reculer jusqu’au poste d’arrière gauche.
Par Antonin Bardin de Paris-Normandie.
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Si les clubs valident la proposition formulée par DAZN vendredi, une fois tous les frais retirés, ils pourraient voir leurs recettes télé divisées par trois.
Combien restera-t-il ? C'est la grande interrogation à laquelle tous les présidents de clubs ne savent pas répondre, alors qu'ils ont dû établir leur budget pour la saison 2024-2025 sans connaître le montant des droits télé dont ils disposeront. Une certitude, sauf décisions et changements des règles d'ici là, il ne leur restera pas grand-chose.
En se basant sur l'offre de DAZN à 375 M€ en moyenne sur 5 ans pour 8 matches sur 9 et en incluant un autre diffuseur pour la dernière rencontre et la vente de 100 % des matches en quasi-direct, plus les 40 M€ de beIN pour la L2, la Ligue peut espérer obtenir pour la L1 et L2 entre 450 et 500 M€ environ. C'est maigre et loin des espérances d'il y a quelques mois qui tablaient sur près de 900 M€. « C'est un naufrage qui se profile », s'inquiète un président de L1.
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Les clubs de L1 risquent de se partager quelques 200 M€
Une fois retirée la taxe CVC, 20 % normalement cette saison en raison du rattrapage des deux premières années où le fonds n'avait rien touché en accord avec la Ligue, ce qui pourrait représenter près de 130 M€, la taxe Buffet (5 % du montant des droits), les différentes subventions versées à la Fédération (a minima 14,2 M€ selon la convention entre la FFF et la LFP) et aux différents syndicats joueurs (1,09 % des droits ce qui représentait environ 8M d'euros), entraîneurs (800 000 €), clubs (1,1 M€) et autres familles (900 000 €), la quote-part de la L2 capée actuellement à 87 M€ et les frais de fonctionnement de la LFP, qui ont plus que doublé avec la création de la société commerciale et le nouveau siège, les clubs de L1 risquent de se partager quelques 200 M€ de droits nationaux.
Des arrangements pourraient être trouvés, comme lors du Covid, avec les syndicats qui avaient accepté de voir baisser les aides de la Ligue. Mais ça ne suffira pas à augmenter sensiblement l'enveloppe totale. En 2023-2024, la LFP a distribué 413 M€ de droits nationaux aux 18 clubs de L1, ce qui a permis au PSG d'empocher 43 M€ et au dernier un peu moins de 15. Dans le cas de figure où DAZN serait choisi, le premier devrait recevoir environ 15 M€, soit ce que les derniers gagnaient jusqu'à présent, et les derniers du classement quelque 5 M€, soit ce que touchent les pensionnaires de L2.
Article de Arnaud Hermant L'Equipe
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
Entre 350 et 400 supporters ont assisté, samedi 6 juillet 2024, au premier entraînement de la saison des Ciel et Marine, qui s’est terminé en séance d’autographes et photos pour Didier Digard et ses joueurs.
On ne va pas se mentir, on a d’abord craint le pire. Tout du moins le bide. À peine avaient-elles été ouvertes, en ce samedi 6 juillet, jour de la première séance d’entraînement du Havre AC version 2024-2025, que les grilles du centre de Soquence devaient être refermées.
Deux cents personnes étaient déjà entassées dans la petite zone destinée à accueillir des spectateurs, juste devant les bâtiments, au cœur d’un centre technique pas franchement conçu pour recevoir du public. « On est parqués comme du bétail, les gamins ne voient que dalle », soupirait un père de famille. « Pourquoi communiquer sur le fait que la séance est ouverte au public si on ne peut pas rentrer ? », s’énervait un amoureux du HAC bloqué devant la grille.
Les trois recrues présentes, des jeunes également
Un brin tendue, l’atmosphère allait toutefois rapidement se détendre une fois prise par le club la décision d’ouvrir une autre zone normalement interdite, au niveau de l’entrée des vestiaires. Répartis derrière la main courante, les nombreux fans (entre 350 et 400 au total) pouvaient ainsi scruter les premiers pas de Didier Digard au milieu des troupes ciel et marine.
Lancée à 10 h 30, la séance allait s’étirer jusqu’à 12 h 10, composée d’un échauffement, d’un exercice de circulation de balle, d’un autre avec des mini-buts, avant un grand jeu mêlant plusieurs couleurs de chasubles. On y aura dénombré une grosse vingtaine de joueurs sur le terrain, dont les recrues Ismaïl Bouned, Ruben Londja (impressionnant gabarit), Yanis Zouaoui, et quelques visages juvéniles comme ceux de Daren Mosengo (néo-professionnel), Noam Oubougou Jacquet (stagiaire pro) ou Guy-Noël Zohouri (stagiaire pro).
Au fil de la séance, certains éléments restés en salle sont sortis effectuer quelques tours de terrain, à l’instar d’Oussama Targhalline et Arouna Sangante. Didier Digard ? Dans des conditions auxquelles il ne devait plus être habitué à cette période de l’année (bourrasques, moins de 20ºC au thermomètre), l’ancien Niçois est le plus souvent apparu en retrait, observateur, laissant à ses adjoints le soin d’animer les exercices, sans s’interdire de distiller quelques consignes par moments. On a également vu le successeur de Luka Elsner réunir ses hommes en cercle, bras dessus, bras dessous, en début et en fin d’entraînement, comme le faisait le technicien slovène ces deux dernières saisons.
« Rassurez-vous, il (Digard) est très gentil »
Dans l’assistance, outre les dossiers mercato (dont celui d’André Ayew, sur toutes les lèvres ce samedi), on entendait forcément parler du natif de Gisors. Positivement dans l’ensemble. « Il a du caractère, fait jouer les jeunes, a réalisé de bonnes choses à Nice », listaient Christophe, David et Joël, trois « quinquas » abonnés dans le Kop. « Il a dit qu’il préférait gagner 5-4 que 1-0 », se délectaient de leur côté deux anciens. « Le départ d’Elsner peut finalement s’avérer un mal pour un bien et lancer une nouvelle dynamique », voulait croire Alexis, 21 ans. « J’espère simplement que Digard sera aussi sympa avec les supporters qu’Elsner », se demandait Agathe. « Rassurez-vous, il est très gentil », lui répondait Elodie, ancienne camarade de classe de « DD » devenue membre de sa famille.
Digard allait en donner un premier aperçu à l’issue de l’entraînement, se prêtant avec simplicité à la grande séance de dédicaces et photos improvisée à la sortie du terrain. « Bienvenue Didier ! », lui lançait un fan, reparti tout sourire, comme les autres, du centre technique du club doyen.
Par David Poisnel de Paris-Normandie.
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
Pour refermer sa campagne de matches de préparation, le HAC devrait se frotter le samedi 10 août 2024 au Stade Océane à l’équipe allemande de Bochum, pensionnaire de Bundesliga.
Il ne manquait plus qu’un adversaire à la campagne de préparation estivale du Havre AC. Ç’aurait pu être Ipswich Town (Premier League), Augsbourg (Bundesliga) ou encore Kiel (Bundesliga), dont les noms furent un temps évoqués. Ce devrait finalement être Bochum, un autre pensionnaire de première division allemande, que les Ciel et Marine affronteront normalement le samedi 10 août 2024 (18 h) au Stade Océane, à une semaine de se mesurer au Paris Saint-Germain dans le cadre de la 1ère journée de Ligue 1.
Pour ce sixième et dernier galop d’essai (*), les dirigeants du HAC souhaitaient accueillir un adversaire étranger et ainsi pouvoir offrir une petite affiche de gala à leurs supporters. Si le VfL Bochum n’est pas le plus connu des clubs de Bundesliga, il fait toutefois partie de l’élite allemande depuis trois saisons, après avoir régulièrement fait l’ascenseur au cours des dernières décennies.
Maintenu au terme d’un incroyable barrage
Seizième (sur 18) de l’exercice 2023-2024, le club de la Rhur s’est maintenu à l’issue d’un barrage de folie face à Düsseldorf, battu 3-0 à l’aller à domicile avant de refaire son retard au retour et de s’imposer aux tirs au but. Un heureux épilogue suite auquel Bochum a nommé Peter Zeidler, l’ancien coach de Tours et Sochaux, en provenance de Saint-Gall (Suisse), sur son banc.
Ce dernier y dirigera notamment l’ancien Strasbourgeois Ibrahima Sissoko, qui vient de s’engager, mais pas Lys Mousset, le Havrais ayant résilié son contrat avec Bochum en janvier dernier sans disputer le moindre match officiel en l’espace de dix-huit mois avec le VfL (il avait été prêté à Nîmes au premier semestre 2023).
Par David Poisnel de Paris-Normandie.
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
Fier de tes origines , fils d’Oxford et Cambridge, deux couleurs font notre prestige Ciel & Marine
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
Le HAC et André Ayew ont tous deux la volonté de prolonger leur aventure commune, mais les contraintes financières pesant sur le club doyen n’ont pas permis pour l’heure de trouver un accord contractuel. Le point en ce mardi 9 juillet 2024.
André Ayew avait-il disputé son dernier match sous le maillot du HAC le 19 mai dernier contre l’Olympique de Marseille ?
André Ayew par ci, André Ayew par là. Si son contrat avec le club doyen s’est achevé le 30 juin 2024, c’est-à-dire à la veille de la reprise des Ciel et Marine, le nom du Ghanéen était encore sur toutes les lèvres des supporters havrais, samedi 6 juillet, à l’occasion de la première séance d’entraînement de la saison ouverte au public.
« Il ferait du bien à cette jeune équipe », estimaient en substance les fans du HAC présents au centre technique de Soquence, restés pour la plupart sous le charme de l’attaquant de 34 ans. « Il n’est pas loin », avait quant à lui répondu Jean-Michel Roussier, lors de la conférence de presse de présentation de Didier Digard, à une question concernant le fils d’Abedi Pelé.
A son échelle, Ayew avait consenti un énorme effort financier
Ayew se trouvant actuellement au Ghana, où il se prépare dans l’attente de rejoindre sa future équipe, il fallait simplement comprendre des mots du président que les contacts avec l’ancien Marseillais étaient toujours actifs. Ceux-ci se sont accélérés dans le courant de la semaine dernière, entre le directeur sportif du club doyen, Mathieu Bodmer, et le représentant du joueur, Fitzgerald Thomas.
Entre les deux parties, les relations sont fluides, et ce depuis le 30 octobre 2023 où elles s’étaient pour la première fois rencontrées dans le hall d’un hôtel parisien, jetant rapidement les bases de l’arrivée d’Ayew au Havre. Au terme de la saison, ponctuée de six buts en 20 apparitions (L1 et Coupe de France comprises) et d’une vraie connexion avec le peuple ciel et marine pour le Ghanéen, l’attaquant et son agent avaient promis au « DS » havrais de faire du HAC leur priorité de l’intersaison 2024.
Près de deux mois plus tard, existe toujours une volonté commune de prolonger l’aventure. Reste à savoir si cela sera réalisable sur le plan financier… En acceptant il y a huit mois de signer au HAC pour 30 000 € brut par mois, salaire le situant hors du top 10 havrais, Ayew avait consenti (à son échelle) un énorme effort financier, désireux de retrouver la France, la Ligue 1, et de montrer ce qu’il avait encore sous le pied. Dans son esprit, un tel « sacrifice » ne pouvait être que temporaire, et bien que conscient des capacités financières limitées du club doyen, l’homme aux trois Coupes du Monde et huit Coupes d’Afrique des Nations aspire logiquement à une revalorisation salariale un peu plus en adéquation avec son apport sur et en dehors du terrain.
« Nous devons diminuer de 30 % notre masse salariale »
Problème, à date, le HAC, placé sous masse salariale encadrée par la DNCG et dans l’incertitude la plus complète concernant les prochains droits TV, ne semble pas en capacité de lui offrir réellement plus qu’au cours des derniers mois. Ce que confirme Mathieu Bodmer : « Nous avons des soucis financiers, comme tous les clubs et peut-être un peu plus que d’autres, expose le directeur sportif. Aujourd’hui, nous devons diminuer de 30 % notre masse salariale par rapport à la saison dernière. Nous voulons garder André et lui a envie de rester. Nous allons donc continuer à discuter pour essayer de trouver un terrain d’entente. Je comprends sa position, logique et légitime, mais, de notre côté, il y a des choses que nous ne pouvons malheureusement pas faire. »
Sans se fixer de deadline, Bodmer et Fitzgerald Thomas ont donc convenu de se laisser encore un peu de temps. « Cela dépendra en partie du départ de certains joueurs », ne cache pas le dirigeant havrais. Rien ne dit qu’Ayew, convaincu de pouvoir réaliser une grosse saison avec une vraie « prépa » et des conditions de vie ordinaires (il logeait à l’hôtel ces derniers mois), ne recevra pas d’ici là une autre proposition de nature à le séduire. En Ligue 1, ou à l’étranger, sachant que l’Angleterre n’a pas oublié l’ex de Swansea et Nottingham Forest, que des championnats de second rang pourraient potentiellement l’intéresser (Pays-Bas, Turquie) et qu’il n’aura a priori aucun mal à trouver un contrat dans le Golfe (Arabie saoudite, Qatar) sinon.
Par David Poisnel de Paris-Normandie.
Re: [REVUE DE PRESSE] pas de commentaire, svp !
En fin de contrat aspirant, le jeune milieu offensif Mohammed Hamony (bientôt 18 ans) va très certainement quitter le HAC. Lui exigeait de signer pro, le club tenait à ce qu’il ne saute pas la case « stagiaire ». Une question de principe et non de talent, explique Mathieu Bodmer.
Mohammed Hamony aura porté durant six saisons les couleurs ciel et marine
« On n’a plus de nouvelles, il y a de bonnes chances qu’il parte. » Mathieu Bodmer ne se fait plus guère d’illusions quant à l’avenir au HAC de Mohammed Hamony, dont le contrat aspirant (réservé aux pensionnaires du centre de formation) s’achevait au 30 juin 2024.
Sauf revirement, l’ailier marocain de presque 18 ans (il les fêtera le 5 août) n’enfilera donc plus cette tunique ciel et marine qu’il arborait depuis l’âge de 12 ans, repéré par Franck Sale (ex-recruteur en chef à la Cavée Verte) et ses équipes à Rouen, où le natif de Casablanca avait débarqué sans parler un mot de français en provenance de son pays natal (celui de son père), auprès de sa maman d’origine guadeloupéenne.
« Un gamin pour lequel le HAC s’est énormément investi »
« C’est un gamin pour lequel le HAC s’est énormément investi, tant sur le plan financier qu’affectif », dit-on au centre de formation du club doyen. « Le HAC est un club familial qui m’a beaucoup donné et m’a aidé. Je l’en remercie, reconnaissait du reste le Lionceau de l’Atlas dans un entretien accordé au site de la FIFA en marge de la dernière Coupe du monde U17, en novembre 2023. Ce que j’attends ? Comme tout le monde, c’est de jouer avec l’équipe professionnelle. »
Cela n’arrivera manifestement jamais, conséquence d’un désaccord qui aura perduré durant des mois entre le clan Hamony et l’état-major havrais, le premier exigeant que le joueur passe directement du statut « aspirant » à celui de « professionnel », quand le second a fait du contrat « stagiaire » une étape intermédiaire incontournable depuis son arrivée aux commandes en 2022.
Derniers exemples en date, le gardien Paul Argney et le milieu défensif Daren Mosengo ont signé pro cet été, un an après avoir troqué leur contrat aspirant pour un contrat stagiaire, ce qu’Hamony, garçon décrit comme très sûr de lui et pas toujours facile à cadrer, avait alors refusé. « Mohammed est un très grand talent et quelqu’un qu’on aime beaucoup, mais il n’a pas voulu suivre le cursus normal. Et on ne déroge pas à la règle, celle-ci doit être la même pour tout le monde », assume Mathieu Bodmer.
Le HAC recevra au moins 300 000 € d’indemnités
Le directeur sportif le réaffirme : si d’aventure le Marocain devait revenir prochainement vers son club formateur, le HAC ne lui proposera donc rien d’autre qu’un contrat stagiaire. Ce qui apparaît toutefois peu probable, considérant la cote du milieu excentré sur le marché des « prospects », un an après avoir brillé aussi bien lors de la Coupe d’Afrique des Nations U17 (finaliste) qu’au cours du Mondial qui avait suivi (quart de finale).
Rennes, Barcelone et un gros club italien seraient sur le coup pour faire signer Hamony, selon des bruits probablement relayés par son entourage. Si tel est le cas, des clubs de cette envergure n’auront semble-t-il aucun mal à régler les 300 000 € dus au HAC au titre des indemnités de formation (*), lesquelles pourraient être amenées à gonfler à l’avenir en fonction de l’évolution du joueur (sélections, prolongation de contrat, transfert…). Loin, donc, de son club formateur.
(*) 3 x 10 000 € pour ses trois saisons passées au HAC entre 13 et 15 ans + 3 x 90 000 € pour ses trois saisons passées au HAC entre 16 et 18 ans.
Par David Poisnel de Paris-Normandie.