Haha mdr tu parle de salle de sport . Non plus sérieusement bayo c'est bien calméMomo-k a écrit : ↑17 janv. 2025 19:34Je parlais bien évidemment de basic fit , établissement ouvert 24/24 en MoselleSanghaLH a écrit : ↑17 janv. 2025 18:59Faut se renseigner avant de dire des choses pareilles. Bayo c'est mariée et a une vie bien loin des boîtes de nuit.Momo-k a écrit : ↑17 janv. 2025 17:29 https://socios-fcmetz.com/rumeur-mercat ... amed-bayo/
Les établissements de nuits mosellans vont être ravis!
Tu es gonflé de rappeler cet épisode lillois
[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Malheureusement....ses statistiques aussi se sont calmées ...
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Si !!! Aves Ses sorties du 11.....
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Un joueur, deux maillots. Avant le face-à-face entre le HAC et le Stade Brestois, dimanche 26 janvier 2025 à 15 heures sur la pelouse du Stade Océane, nous avons retrouvé Dénys Bain, ancien défenseur central passé par les deux formations.
Dénys Bain a porté le maillot ciel et marine durant quatre saisons
« Paroles d’ex », épisode XVII. Cette semaine, coup de projecteur sur Dénys Bain, défenseur central passé par le HAC (2015-2019) mais aussi par Brest (2019-2022). À 31 ans, le Franco-Béninois est tombé dans l’anonymat. Si bien qu’il est quasi-impossible de trouver de ses nouvelles sur internet et les réseaux sociaux, ses pages Facebook, X (ex-Twitter) ou Instagram étant inactives depuis 2020. Année durant laquelle sa carrière a certainement basculé.
« Le HAC d’Erick Mombaerts m’avait fait forte impression »
Cette carrière, justement, débute en 2010 lorsque Dénys Bain rejoint le centre de formation de la Berrichonne de Châteauroux. Son talent est évident. Défenseur sobre à la relance propre, il ne faut que quelques mois pour le voir disputer ses premières minutes en Ligue 2. Le 20 mai 2011, Didier Tholot, l’entraîneur de la formation castelroussine, lui offre ses premières minutes en pro alors qu’il n’est pas encore majeur. Son premier contrat professionnel, lui, arrivera plus tard, en 2013. « Voir la France gagner la Coupe du monde en 1998 a été un déclic pour moi. Je venais de fêter mes 5 ans et je rêvais de devenir footballeur professionnel, se souvient Dénys Bain. Ce premier contrat est une récompense de mon investissement quotidien mais il n’est pas une fin en soi pour moi. À ce moment-là, j’espère qu’il est le premier d’une longue série. Beaucoup de jeunes n’ont pas réussi à faire carrière après avoir signé pro. »
Dénys Bain veut s’imposer et durer à haut niveau. Quand la Berrichonne de Châteauroux est reléguée à l’issue de la saison 2014-2015, le jeune homme souhaite quitter son club formateur. Il en a finalement l’occasion en toute fin de mercato. À la recherche d’un nouveau défenseur après le départ de Zargo Touré pour Lorient, le HAC le contacte. Dénys Bain n’hésite pas longtemps. « Je ne pouvais pas rêver mieux, affirme-t-il. Je voulais rester en Ligue 2 pour poursuivre ma progression. Le HAC d’Erick Mombaerts m’avait fait forte impression. Cela jouait au ballon ! Rejoindre un club qui jouait les premiers rôles était une superbe opportunité. »
Le Covid-19 et une rupture des ligaments croisés
Dénys Bain vit « les meilleures saisons de sa carrière » avec le maillot ciel et marine. Entouré de coéquipiers comme Steven Fortes, Alexandre Bonnet ou encore Jean-Pascal Fontaine pour ne citer qu’eux, il devient progressivement une valeur sûre de l’effectif havrais. Épanoui dans la vie, Dénys Bain l’est aussi sur le terrain. Joueur extrêmement fiable, il ne manque que huit matches de Ligue 2 entre les exercices 2016-2017 et 2018-2019. Après quatre saisons pleines, il quitte le HAC libre de tout contrat et prend la direction de Brest. À 26 ans, il souhaite passer un nouveau cap dans sa carrière. « J’aurais aimé monter en Ligue 1 avec le HAC mais j’avais l’impression de stagner. Je voulais découvrir le niveau supérieur, argue l’intéressé. Brest, promu, m’a alors approché durant l’intersaison. Je me suis dit que c’était une occasion à ne pas manquer, que le train ne passerait peut-être plus jamais si je refusais cette offre. »
Le début est prometteur. La suite, elle, est bien plus compliquée. Presque cauchemardesque. Titulaire indiscutable dès son arrivée, Dénys Bain est relégué sur le banc de touche juste avant l’interruption de la saison en raison de l’épidémie de Covid-19. Après le déconfinement, il est victime d’une rupture des ligaments croisés antérieurs du genou gauche le 22 juillet 2020. Depuis, sa carrière est au point mort. À son retour de blessure, ses apparitions sous le maillot de Brest ou d’Auxerre (2022-2023) se comptent sur les doigts d’une main. Aujourd’hui, à 31 ans, Dénys Bain est à la recherche d’un nouveau projet. « Cet été, j’ai fait une prépa avec le Paris 13 Atletico dans l’espoir de jouer en National mais cela ne s’est pas fait. Mes plus belles années sont sûrement derrière moi mais la vie continue. Je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas que le football qui pouvait rendre heureux un homme. Dans le futur, j’aimerais intervenir auprès des jeunes pour parler des hauts et des bas que l’on peut rencontrer durant une carrière. »
Dénys Bain en bref…
Né le 2 juillet 1993 à Paris
Formé à la Berrichone de Châteauroux
Ses clubs successifs : Châteauroux (2010-2015), Havre AC (2015-2019), Stade Brestois (2019-2022), Auxerre (2022-2023)
Par Clément Lesage de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Et il aurait peut-être pu marquer mais il se l'ait faire chiper par notre ami CSC.
D'ailleurs dans les anciens hacmen : CSC... il a mis un doublé (qui aurait pu être un triplé) lors de cette rencontre.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Un joueur, deux maillots. Avant le face-à-face entre Angers et le HAC, dimanche 2 février 2025 (17 h 15) sur la pelouse Raymond-Kopa, nous avons retrouvé Christophe Lagrange, ex-goleador du SCO et attaquant du Havre AC.
Christophe Lagrange, acteur d’une ligne offensive qui abritait également Cédric Daury et Alain Caveglia
« Paroles d’ex », épisode XVIII. Coup de projecteur sur Christophe Lagrange (58 ans), un avant-centre sacré meilleur buteur du groupe B de D2 en 1991 sous les couleurs d’Angers SCO, avant que sa carrière ne l’entraîne jusqu’au HAC au milieu des années 90. Un voyage effectué en compagnie de Cédric Daury, son fidèle complice.
« Avec Guy David comme entraîneur, on s’est régalés »
« Il y a eu les résultats, plutôt bons, mais il y a surtout eu de l’humain. » De ses deux saisons au HAC, en plein cœur des années 90, Christophe Lagrange en garde des traces encore toutes fraîches. « On a un groupe Whatsapp avec les anciens. Je suis d’ailleurs resté très pote avec Jean-Pierre Delaunay et Alain Caveglia. Dans ce cercle des proches, il y avait aussi Cédric Daury. Malheureusement… » Malheureusement, celui qui devint entraîneur du HAC quelques années plus tard (juin 2009-novembre 2012), fut terrassé par la maladie le 12 août 2024. « On est arrivés ensemble au HAC. Et on ne l’a jamais regretté. Avec Guy David comme entraîneur, on s’est régalé. On a vécu deux années fantastiques. »
Et une soirée l’a particulièrement marqué. C’était il y a trente ans, presque jour pour jour, le 1er février 1995. « On recevait Saint-Étienne (2-0), Laurent Blanc jouait avec les Verts. Deschaseaux, ce n’était plus une pelouse, mais juste de la boue. Et je me souviens de cette volée extraordinaire d’Alain (Caveglia). Il y avait vingt centimètres de boue, il jouait en moulés et il nous met un but venu d’ailleurs. Franchement, aujourd’hui, aucun entraîneur n’accepterait ne serait-ce que de faire une séance sur un tel terrain. » Ces Verts qu’il allait rejoindre pour les deux dernières saisons de sa carrière (1996-1998).
« On partageait le vestiaire avec des scolaires »
« C’était quand même une autre époque. » Avant de se poser au Havre, et après deux saisons en Sang et Or (1986-1988), c’est à Angers qu’il a croqué la plus épaisse des tranches de sa carrière (1988-1994). « Je me souviens qu’au début, en 88 et 89, on partageait le vestiaire du terrain d’entraînement avec des scolaires. » Cela ferait effectivement sourire, ou bondir, ceux qui ont fait aujourd’hui des centres d’entraînement de véritables bunkers.
« On lavait même nos fringues. Mais plus globalement, Angers c’est le club où je me suis le plus épanoui. J’ai fini une fois meilleur buteur de D2 (19 réalisations, 90-91), deux fois deuxième. Et puis c’est là que s’est formé le fameux duo Daury-Lagrange. Je dis fameux, parce que dès que ça parlait d’Angers, on parlait de nous. Dans la vie, on était tellement complice. » Et sur le pré, Lagrange dut patienter cinq saisons, sous les ordres d’un seul coach en la personne d’Hervé Gauthier, pour se hisser en D1 avec le SCO (1993), y inscrire douze buts et délivrer six passes dé’. Avant qu’Angers ne retombe aussi sec et qu’il ne prenne la direction de la Porte Océane (1994).
« Il ne voulait pas qu’on reste à glander »
Responsable depuis 2019 du recrutement au centre de formation d’Angers, soit trois ans après être revenu s’installer dans la région angevine – « et durant ces trois années, j’ai entraîné au niveau R2-R3, mais ce n’était pas mon truc, trop de joueurs n’étaient pas assez sérieux » – Christophe Lagrange a surtout débuté sa reconversion par une… non-reconversion (1998). Enfin presque.
« En fait, j’ai tout de suite replongé dans le foot, le foot entreprise, recruté par le Groupe Marcel Nicollin, à Montpellier. J’y ai quand même passé dix ans. Avant de créer la section féminine au MHSC, Louis Nicollin était un dingue du foot entreprise. Il y avait plein d’anciens pros, comme Franck Silvestre, Pascal Baills. Il nous chouchoutait. J’avais encore l’impression d’être dans le milieu pro. On partait au vert, on s’entraînait tous les jours. Et comme il ne voulait pas qu’on reste à glander, j’entraînais les jeunes du club trois fois par semaine. » Au printemps 2000, du seul but inscrit lors d’une finale disputée à Saint-Nazaire, c’est lui qui priva le RCPH du titre de champion de France.
En bref… En bref… Né le 24 octobre 1966 à Moncy-Notre-Dame (Ardennes) Formé à Sedan 1986-1988 : Lens (21 matches D1) 1988-1994 : Angers (37 matches D1, 154 matches D2) 1994-1996 : HAC (67 matches D1) 1996-1998 : Saint-Étienne (66 matches D2)
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [Saison 2024/2025] Mercato hivernal - Les rumeurs (avérées et/ou potentiellement crédibles)
De son côté, le président Jean-Pierre Caillot se trouvait en discussion sur le banc avec son adjoint Samba Diawara… De quoi confirmer le départ à venir de l’ancien technicien du HAC ? Selon nos informations, c’est bien le cas. Le coach va être viré par son club dans les prochaines heures. Il a rapidement quitté le vestiaire sans s’adresser au groupe après cette nouvelle défaite
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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T'aurais pas dû, Gérard Elsner, aller ce soir là à Reims-gis, t'aurais dû rester près d'la mer comme un bon fils.
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